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La Conférence Générale Adventiste du Septième Jour

ON M’A MONTRÉ QUE LE JUGEMENT D’AUCUN HOMME NE DOIT ÊTRE SOUMIS AU JUGEMENT D’UN SEUL HOMME. MAIS LORSQUE LE JUGEMENT DE LA Conférence Générale, QUI EST LA PLUS HAUTE AUTORITÉ QUE DIEU AIT SUR LA TERRE, EST EXERCÉ, L’INDÉPENDANCE ET LE JUGEMENT PRIVÉS NE DOIVENT PAS ÊTRE MAINTENUS, MAIS DOIVENT ÊTRE ABANDONNÉS. [Frère A] Votre erreur a été de maintenir constamment votre jugement personnel sur votre devoir contre la voix de la plus haute autorité que le Seigneur a sur la terre. Après avoir pris votre temps et après que l’œuvre ait été grandement entravée par votre retard, vous êtes venu à Battle Creek en réponse aux appels répétés et urgents de la Conférence Générale. Vous avez fermement maintenu que vous aviez bien fait de suivre vos propres convictions de devoir. Vous considériez comme une vertu chez vous de maintenir constamment votre position d’indépendance. Vous ne sembliez pas avoir un véritable sens de la puissance que Dieu a donnée à Son Église par la voix de la Conférence Générale. Vous pensiez qu’en répondant à l’appel que vous avait lancé la Conférence Générale, vous vous soumettiez au jugement et à l’esprit d’un seul homme. Vous avez donc manifesté une indépendance, un esprit déterminé et volontaire, ce qui était tout à fait faux. {1872-1875 3T 492.2}
Je ne pouvais pas confier la lumière que Dieu m’a donnée à la maison d’édition de Battle Creek. Je n’oserais pas le faire. Quant à votre comité des livres, sous l’administration actuelle, avec les hommes qui président actuellement, je ne leur confierais pas pour publication dans des livres la lumière que Dieu m’a donnée, tant que cette maison d’édition n’aura pas des hommes d’une capacité et d’une sagesse consacrées. QUANT À LA VOIX DE LA Conférence Générale, IL N’Y A PAS DE VOIX DE DIEU PAR L’INTERMÉDIAIRE DE CE CORPS QUI SOIT FIABLE. – Manuscrit 57, 1895. {1990 17MR 178.1}
“LE MAL N’EST PAS CHEZ UN HOMME, OU CHEZ DEUX; C’EST L’ENSEMBLE QUI A BESOIN D’ÊTRE PURIFIÉ ET MIS EN ORDRE.” {GCDB, 24 Février 1899 par. 2}
“IL Y A QUELQUES ANNÉES QUE JE NE CONSIDÈRE PLUS LA Conférence Générale COMME LA VOIX DE DIEU.” {17MR 216} (1898). {GCDB, 24 Février 1899 par. 3}
Oh, mon âme est entraînée dans ces choses ! Les hommes qui n’ont pas appris à se soumettre au contrôle et à la discipline de DIEU, ne sont pas compétents pour former la jeunesse, pour traiter avec les esprits humains. Il leur est tout aussi impossible d’accomplir cette œuvre qu’il leur serait impossible de créer un monde. QUE CES HOMMES [nos dirigeants] SE TIENNENT DANS UN LIEU SACRÉ, POUR ÊTRE LA VOIX DE DIEU AUPRÈS DU PEUPLE, COMME NOUS CROYIONS AUPARAVANT QUE LA Conférence Générale L’ÉTAIT, C’EST DU RÉCIPIENT. CE QUE NOUS VOULONS MAINTENANT, C’EST UNE RÉORGANISATION. NOUS VOULONS COMMENCER PAR LA FONDATION ET CONSTRUIRE SUR UN PRINCIPE DIFFÉRENT. {GCB, 3 Avril 1901 par. 25}
Le Seigneur déclare que Son église ne doit pas être gouvernée par des règles ou des précédents humains. Les hommes ne sont pas capables de diriger l’église. Dieu est notre dirigeant. Je suis opprimé par la pensée de la gestion humaine répréhensible observée dans notre travail. Dieu dit : « Ne touchez pas. Dirigez-vous vous-mêmes avant d’essayer de diriger les autres. DES CHOSES ÉTRANGES ONT ÉTÉ FAITES, DES CHOSES QUE DIEU ABHORRE. QUE DES HOMMES PRÉTENDENT QUE LA VOIX DE LEURS CONSEILS DANS LEUR GESTION PASSÉE EST LA VOIX DE DIEU ME SEMBLE ÊTRE PRESQUE UN BLASPHÈME. – Manuscrit 35, 1901. Ellen G. White Estate Washington, D. C. 9 Juillet 1987. Manuscrit intégral. {17MR 250.1}
NOTE EXPLICATIVE
[Les opinions exprimées dans ce document ont été exprimées par Ellen White à une époque où seul un petit groupe représentait la Conférence Générale. Après la réorganisation de la Conférence Générale en 1901 pour assurer une large représentation, Mme White a adopté un point de vue différent. Lors de la Conférence Générale de 1909, elle a encouragé un soutien vigoureux à la Conférence Générale. Lors de cette session, elle a dit : « Parfois, lorsqu’un petit groupe d’hommes chargés de la direction générale de l’œuvre a cherché, au nom de la Conférence Générale, à exécuter des plans insensés et à restreindre l’œuvre de Dieu, j’ai dit que je ne pouvais plus considérer la voix de la Conférence Générale, représentée par ces quelques hommes, comme la voix de Dieu. Mais cela ne veut pas dire que les décisions d’une Conférence Générale composée d’une assemblée d’hommes dûment désignés et représentatifs de toutes les parties du champ ne doivent pas être respectées. Dieu a ordonné que les représentants de Son Église de toutes les parties de la terre, lorsqu’ils sont assemblés dans une Conférence Générale, aient autorité. . . . donnons à la plus haute autorité organisée de l’Église ce que nous sommes enclins à donner à un homme ou à un petit groupe d’hommes. » – Témoignages, vol. 9, pp. 260, 261. Voir aussi The Early Elmshaven Years, par A. L. White, pp. 75-94, 108-110.] {17MR 251.1}
Commentaires sur la Note Explicative ci-dessus
1. Les citations d’Ellen White n’étaient pas ses opinions, c’étaient des écrits inspirés du Saint-Esprit de Dieu, sauf lorsqu’elle exprimait ses propres opinions ; c’est-à-dire CELA ME SEMBLE ÊTRE PRESQUE UN BLASPHÈME.
2. La citation inspirée d’Ellen White en 1901 a confirmé que les dirigeants de l’Église n’étaient plus la voix de Dieu et a nuancé cela en ajoutant la déclaration CELA EST PASSÉ. Cela a confirmé que les dirigeants de l’Église / la Conférence Générale continueraient à rester dans cette position.
3. Depuis 1895, l’histoire des dirigeants de la Conférence Générale de l’Église Adventiste du Septième Jour parle d’elle-même. Dans de nombreux domaines, elle a suivi les églises laïques plutôt que d’adhérer aux croyances originales des pionniers de l’Église.
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Satan accusait Israël de rétrogradation. De la même manière, il a l’intention de pointer du doigt les agissements sans principes de ceux qui ont reçu une grande lumière ces derniers jours. Il observe avec attention la régression de ceux qui ont été placés à la tête de l’œuvre – les mêmes hommes qui, par des communications, ont été informés qu’ils n’étaient PAS À PLACE ET DANS L’ERREUR EN PRÉSENTANT LA VOIX DU PRÉSIDENT DE LA Conférence Générale COMME ÉTANT LA VOIX DE DIEU. Pendant de nombreuses années, il n’en a pas été ainsi, et il n’en est pas ainsi maintenant ; ET IL NE SERA JAMAIS ainsi, À MOINS D’UNE RÉFORME COMPLÈTE. – Manuscrit 124, 1901 par. 14. {1990 17MR 240.3}
Le Comité de la Conférence Générale a la lourde responsabilité de veiller aux intérêts de notre peuple et à l’œuvre qui lui est confiée. À mesure que le champ de notre travail s’élargit, cette responsabilité devient plus grande. CE N’EST PAS LA VOLONTÉ DE DIEU QUE CEUX QUI SONT APPELÉS À CE POSTE SOIENT TELLEMENT ACCUMULÉS PAR DES SOINS D’AFFAIRES QU’ILS SOIENT PARASITÉS DANS LE TRAVAIL POUR LEQUEL ILS ONT ÉTÉ ÉLUS. Manuscrit 33, 1895 par. 1. {1990 14MR 278.1}
CELA EST PARTICULIÈREMENT VRAI EN CE QUI CONCERNE LE PRÉSIDENT DE LA Conférence Générale. SON TEMPS NE DOIT PAS ÊTRE REMPLI PAR LES DÉTAILS DES AFFAIRES ; CAR CELA LE DISQUALIFIE DANS UNE GRANDE MESURE POUR LE TRAVAIL QU’IL DOIT FAIRE. IL NE PEUT CONTINUER À PORTER LE FARDEAU QU’IL A PORTÉ DANS CES ACTIVITÉS, SANS NÉGLIGER DES ACTIVITÉS QUI NE PEUVENT ÊTRE LAISSEES À D’AUTRES. Que des hommes soient choisis pour se consacrer à la partie commerciale de l’œuvre et que le président de la Conférence Générale soit libre de s’occuper des intérêts spirituels. Qu’il ait le temps de comprendre les besoins spirituels de l’Église. Manuscrit 33, 1895 par. 2. {1990 14MR 278.2}
LA VOIX DE LA Conférence Générale A ÉTÉ PRÉSENTÉE COMME UNE AUTORITÉ À ÉCOUTER COMME LA VOIX DU SAINT-ESPRIT. MAIS LORSQUE LES MEMBRES DU COMITÉ DE LA Conférence Générale S’EMPÊCHENT DANS DES AFFAIRES COMMERCIALES ET DES PERPLEXITÉS FINANCIÈRES, LE CARACTÈRE SACRÉ ET ÉLEVÉ DE LEUR TRAVAIL EST DANS UNE GRANDE MESURE PERDU. [VOIR A. L. WHITE, THE EARLY ELMSHAVEN YEARS, PP. [70-83, 223-235, POUR UNE DISCUSSION DES CONDITIONS DANS L’Église Adventiste du Septième Jour À L’ÉPOQUE OÙ CE MANUSCRIT A ÉTÉ ÉCRIT.] Le temple de Dieu devient comme un lieu de commerce, et les ministres de la maison de Dieu comme de simples hommes d’affaires. Leur travail est ramené au niveau des choses ordinaires. Les soucis et les perplexités des affaires les rendent inaptes à considérer les questions relatives aux intérêts spirituels de l’œuvre, qui exigent la perception la plus aiguë, la réflexion la plus minutieuse, le tact le plus délicat et la perspicacité spirituelle la plus profonde. Manuscrit 33, 1895 par. 3. {1990 14MR 278.3}
“À maintes reprises, les hommes ont dit : ‘La voix de la Conférence est la voix de Dieu ; par conséquent, tout doit être soumis à la Conférence. La Conférence doit permettre ou restreindre les différentes lignes de travail.’ Comme la question m’a été présentée, il y a un périmètre étroit, et dans ce périmètre étroit, dont toutes les ouvertures sont fermées, se trouvent ceux qui voudraient exercer le pouvoir royal. MAIS LE TRAVAIL EFFECTUÉ PARTOUT SUR LE TERRAIN EXIGE UNE LIGNE DE MESURE ENTIÈREMENT DIFFÉRENTE. IL EST NÉCESSAIRE DE POSER UNE FONDATION DIFFÉRENTE DE CELLE QUI A ÉTÉ POSÉE DANS LE PASSÉ. NOUS AVONS BEAUCOUP ENTENDU PARLER DE TOUT CE QUI SE PASSE DANS LES LIGNES RÉGULIÈRES. QUAND NOUS VOYONS QUE LES « LIGNES RÉGULIÈRES » SONT PURIFIÉES ET RAFFINÉES, QU’ELLES PORTENT LE MOULE DU DIEU DU CIEL, ALORS IL SERA TEMPS DE VALORISER CES LIGNES. Mais quand nous voyons que MESSAGE après MESSAGE donné par DIEU a été REÇU et ACCEPTÉ, MAIS QU’AUCUN CHANGEMENT N’A ÉTÉ APPORTÉ, nous savons que DE NOUVEAUX IL FAUT APPORTER DU POUVOIR AUX LIGNES RÉGULIÈRES. La GESTION des lignes régulières DOIT ÊTRE ENTIÈREMENT MODIFIÉE, NOUVELLEMENT ORGANISÉE. IL FAUT CRÉER UN COMITÉ, NON PAS COMPOSÉ D’UNE DEMI-DOUZAINE D’HOMMES, MAIS DE REPRÉSENTANTS DE TOUTES LES BRANCHES DE NOTRE TRAVAIL, de notre maison d’édition, de nos institutions éducatives et de nos sanatoriums, qui ont de la vie en eux, qui fonctionnent constamment, qui s’élargissent constamment. {GCB, 10 Avril 1903, par. 3}
LE SEIGNEUR M’A SOUVENT ENSEIGNÉ QUE LE JUGEMENT D’AUCUN HOMME NE DOIT ÊTRE SOUMIS AU JUGEMENT D’UN AUTRE HOMME. L’ESPRIT D’UN SEUL HOMME OU CELUI DE QUELQUES HOMMES NE DOIT JAMAIS ÊTRE CONSIDÉRÉ COMME SUFFISANT EN SAGESSE ET EN PUISSANCE POUR DIRIGER L’ŒUVRE ET POUR DIRE QUELS PLANS DOIVENT ÊTRE SUIVIS. Mais lorsque, dans une Conférence Générale, le JUGEMENT des frères rassemblés de toutes les parties du champ est exercé, l’indépendance et le JUGEMENT personnels ne doivent pas être obstinément maintenus, mais abandonnés. Un ouvrier ne doit jamais considérer comme une vertu le maintien persistant de sa position d’indépendance, contrairement à la décision du corps général. {1909 9T 260.1}
PARFOIS, QUAND UN PETIT GROUPE D’HOMMES CHARGÉS DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ŒUVRE CHERCHAIT, AU NOM DE LA Conférence Générale, À METTRE EN ŒUVRE DES PLANS PEU JUDICIEUX ET À RESTREINDRE L’ŒUVRE DE DIEU, J’AI DIT QUE JE NE POUVAIS PLUS CONSIDÉRER LA VOIX DE LA Conférence Générale, REPRÉSENTÉE PAR CES QUELQUES HOMMES, COMME LA VOIX DE DIEU. Mais cela ne veut pas dire que les décisions d’une Conférence Générale composée d’une assemblée d’hommes dûment désignés et représentatifs de toutes les parties du champ ne doivent pas être respectées. DIEU A ORDONNÉ QUE LES REPRÉSENTANTS DE SON ÉGLISE DE TOUTES LES PARTIES DE LA TERRE, QUAND ILS SERONT RÉUNIS DANS UNE Conférence Générale, ONT L’AUTORITÉ. L’ERREUR que certains risquent de commettre consiste à donner à l’ESPRIT ET AU JUGEMENT D’UN SEUL HOMME, OU D’UN PETIT GROUPE D’HOMMES, toute l’autorité et l’influence que DIEU a conférées à SON ÉGLISE, dans le JUGEMENT ET LA VOIX DE LA Conférence Générale assemblée pour planifier la prospérité et l’avancement de Son œuvre. {1909 9T 260.2}
QUAND CE POUVOIR, QUE DIEU A MIS DANS L’ÉGLISE, EST ACCORDÉ ENTIÈREMENT À UN SEUL HOMME, ET QU’IL EST INVESTI DE L’AUTORITÉ D’ÊTRE UN JUGEMENT POUR D’AUTRES ESPRITS, ALORS LE VÉRITABLE ORDRE BIBLIQUE EST CHANGE. Les efforts de Satan sur l’esprit d’un tel homme seraient des plus subtils et parfois presque écrasants, car l’ennemi espérerait que par son esprit il pourrait affecter beaucoup d’autres. DONNONS À LA PLUS HAUTE AUTORITÉ ORGANISÉE DANS L’ÉGLISE CE QUE NOUS AVONS TENDANCE À DONNER À UN SEUL HOMME OU À UN PETIT GROUPE D’HOMMES. {1909 9T 261.1}